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26 mars 2025

10 raisons de visiter le Costa Rica en mars

Mars dévoile un Costa Rica rayonnant, où la nature s’épanouit sous un ciel dégagé et les visiteurs se raréfient après les fêtes. Visiter le Costa Rica en mars, c’est s’immerger dans un pays où les volcans fument doucement, les plages s’étendent en paix et les traditions résonnent avec authenticité. Alors, voici dix raisons solides pour partir à cette période et explorer ce coin d’Amérique centrale, entre forêts profondes et instants vrais.

10 raisons de visiter le Costa Rica en mars
10 raisons de visiter le Costa Rica en mars

1. Apprécier une météo sèche et lumineuse

En mars, la saison sèche domine presque tout le Costa Rica avec une régularité apaisante. Les températures grimpent jusqu’à 30 °C sur les côtes du Pacifique et des Caraïbes, tandis que les hauteurs de San José oscillent entre 20 et 25 °C. Visiter le Costa Rica en mars garantit des journées claires, parfaites pour sillonner routes et sentiers sans une goutte de pluie.

Du coup, l’air sec rend les marches dans des parcs comme Arenal ou Carara plus agréables, sans la moiteur collante des mois humides. Les nuits fraîches, surtout dans les terres intérieures, appellent à contempler les étoiles, souvent masquées par les nuages en saison verte. Cette stabilité météo éclaire chaque paysage, des plaines aux sommets volcaniques.

En plus, les routes secondaires, comme celles menant à Monteverde, restent poussiéreuses mais praticables, contrairement aux bourbiers de juillet. Le soleil fait ressortir les verts éclatants des palmiers et les bleus profonds de l’océan. Cette lumière nette sublime les détails, rendant chaque vue mémorable pour les curieux ou les photographes.

2. Croiser une faune active et visible

La saison sèche de mars concentre les animaux près des rivières et des points d’eau restants. Dans le parc national Corcovado, les tapirs errent près des lagunes, pendant qu’à Tortuguero, les tortues luth déposent leurs œufs sous la lune. Visiter le Costa Rica en mars expose une biodiversité en pleine action, facile à observer.

Ensuite, les forêts de nuages de Monteverde accueillent des quetzals resplendissants, dont les plumes vertes et rouges captent la lumière à travers les branches. Les crocodiles se prélassent sur les berges du río Tárcoles, visibles depuis le pont routier très fréquenté par les locaux. Ces rencontres brutes enchantent, sans besoin de jumelles sophistiquées.

Mieux encore, la végétation moins touffue ouvre des fenêtres sur des espèces discrètes, comme les kinkajous nocturnes ou les grenouilles dendrobates aux teintes vives. Les guides, souvent nés dans la région, savent pointer du doigt un paresseux suspendu à 20 mètres. Chaque balade se transforme en une leçon vivante sur un écosystème unique.

3. Profiter de plages sereines

Les littoraux du Costa Rica scintillent en mars sous un soleil franc et des marées calmes. Playa Flamingo, avec son sable rose pâle, s’étend sur des kilomètres, tandis que Punta Uva offre des eaux turquoise bordées de cocotiers. Visiter le Costa Rica en mars révèle des côtes tranquilles, loin des vagues humaines de décembre.

D’ailleurs, la température de la mer avoisine les 27 °C, idéale pour nager ou explorer les fonds avec un masque près de Playa Hermosa. Les surfeurs convergent vers Santa Teresa, où les vagues roulent en lignes régulières sur 3 à 4 mètres de hauteur. Ce rythme naturel plaît aux aventuriers comme aux rêveurs.

Et puis, les plages dégagées laissent place à des balades pieds nus jusqu’aux criques cachées, comme celle de Manzanillo. Les cocotiers projettent des ombres nettes sur le sable, parfaites pour se poser avec un livre. Cette quiétude contraste avec des destinations saturées comme Miami à la même saison.

4. Découvrir les volcans sous leur meilleur angle

Les volcans du Costa Rica, comme Poás ou Irazú, se dressent majestueux en mars sous un ciel limpide. Les sentiers autour du cratère actif de Poás mènent à un lac acide turquoise, entouré de fumerolles blanches. Visiter le Costa Rica en mars transforme ces géants en spectacles accessibles, sans brouillard ni glissades.

Puis, près d’Arenal, les eaux thermales de Tabacón jaillissent à 38 °C, alimentées par des sources souterraines chauffées par le magma. Les randonneurs longent des coulées de lave solidifiées datant de 1968, encore visibles sur les flancs. Ces traces racontent une histoire géologique palpable, presque irréelle.

Enfin, la saison sèche écarte les risques de fermeture des parcs, fréquents quand les pluies détrempent les accès. Les points de vue, comme celui du mirador d’Irazú, embrassent des vallées jusqu’à l’horizon Atlantique par temps clair. Ces panoramas récompensent chaque effort avec une grandeur brute.

5. S’immerger dans des fêtes traditionnelles

Mars pulse avec des événements locaux qui célèbrent le cœur costaricain. La Fête des Bœufs à San Antonio de Escazú, le 15 mars, aligne des chars décorés de peintures florales, tirés par des bœufs aux cornes ornées de rubans. Visiter le Costa Rica en mars plonge dans une joie simple, ancrée dans le passé rural.

Aussi, les ferias de San José exposent des grains de café récoltés dans les hauts plateaux, torréfiés sur place par des familles d’agriculteurs. Les danses marimba, rythmées par des xylophones en bois, accompagnent des plats comme le casado, mêlant viande, riz et bananes plantains. Ces traditions respirent une authenticité loin des shows touristiques.

Et pourtant, l’ambiance reste chaleureuse et modeste, sans la démesure des grands festivals sud-américains. Les habitants invitent à goûter une agua dulce, boisson sucrée à la canne, en échangeant des anecdotes. Ce partage spontané tisse des liens qui marquent plus qu’un selfie.

6. Parcourir des forêts éclatantes

Les sentiers de la réserve biologique Bosque Nuboso Monteverde ou du parc Carara s’ouvrent en mars sous une lumière vive. Les ponts suspendus, longs de 100 à 300 mètres, survolent des vallées où cascadent des ruisseaux cristallins. Visiter le Costa Rica en mars invite à fouler des écosystèmes luxuriants, sans les flaques des mois pluvieux.

D’un côté, la sécheresse éclaircit les sous-bois, révélant des broméliacées accrochées aux troncs ou des fougères arborescentes de 2 mètres. Les agoutis, petits rongeurs aux pattes fines, trottinent près des racines géantes des ceibas. Ces détails vivants captivent les marcheurs attentifs.

De l’autre, le ciel dégagé élargit les vues, comme depuis le Cerro Chato, où l’on devine le lac Arenal au loin. Les guides locaux, habitués aux lieux, racontent comment les arbres abritent jusqu’à 400 espèces d’oiseaux. Chaque pas dévoile une nature qui semble posée là pour être admirée.

7. Déguster des fruits mûrs à souhait

Mars coïncide avec la pleine saison des fruits tropicaux dans les basses terres costaricaines. Les mangues Alfonsa, sucrées et juteuses, tombent des arbres près de Nicoya, pendant que les ananas Monte Lirio rougissent sous le soleil. Visiter le Costa Rica en mars offre une explosion de saveurs fraîches, cueillies à maturité.

Alors, les stands de bord de route à Quepos proposent des tranches de papaye saupoudrées de citron vert, un classique local. Les vendeurs montrent comment ouvrir un mamon chino, petit fruit rouge à la chair blanche et acidulée. Ces gestes simples connectent à une terre fertile et généreuse.

Surtout, la variété impressionne, avec des raretés comme le zapote, brun et crémeux, ou le pejibaye, orange et farineux, bouilli par les habitants. Les marchés regorgent de produits récoltés à quelques kilomètres, jamais stockés des mois. Ce lien direct au terroir rend chaque goût plus vivant.

8. Explorer des fonds marins transparents

Les eaux autour de l’île de Caño ou de Playa Chiquita s’éclaircissent en mars, offrant 15 à 20 mètres de visibilité. Les bancs de poissons chirurgiens jaunes zigzaguent près des coraux, rejoints par des tortues carettes aux carapaces luisantes. Visiter le Costa Rica en mars ouvre une fenêtre sur un océan riche et apaisé.

Ainsi, les courants faibles permettent de flotter au-dessus des récifs de Cahuita, où vivent plus de 35 espèces de coraux durs. Les plongeurs croisent des murènes vertes, tapies dans des crevasses à 10 mètres de fond. Ces découvertes immersives fascinent, même avec un simple tuba.

Mieux, la saison sèche limite les particules charriées par les rivières, contrairement à octobre où l’eau se trouble. Les sites, moins visités qu’en janvier, gardent une atmosphère intacte, presque secrète. Ce calme sous-marin enchante les amoureux de la mer et de ses habitants.

9. Saisir des paysages baignés de lumière

La clarté de mars magnifie les reliefs et les côtes costaricaines avec une douceur unique. Depuis le cap de Cabo Blanco, les falaises plongent dans un Pacifique scintillant, bordé de plages désertes. Visiter le Costa Rica en mars inspire des images où chaque détail ressort, net et vibrant.

D’ailleurs, les matins dans la vallée d’Orosi drapent les plantations de café d’une brume fine, vite chassée par le soleil. Les flamboyants, arbres aux fleurs rouge sang, ponctuent les collines sèches près de Guanacaste. Ces contrastes naturels appellent l’objectif ou simplement le regard.

Et puis, le soleil se couche vers 18h, étirant des ombres longues sur les dunes de Playa Junquillal. Les photographes captent des silhouettes de palmiers ou des reflets sur les lagunes de Palo Verde. Cette lumière généreuse fait du pays une toile grandeur nature.

10. Participer à un tourisme respectueux

Mars met en avant des pratiques durables, loin de l’agitation des mois chargés. Les éco-lodges de Tortuguero fonctionnent avec des panneaux solaires et récupèrent l’eau des toits pour arroser leurs jardins. Visiter le Costa Rica en mars aligne voyage et soin d’un pays modèle en écologie.

En parallèle, les communautés de Sarapiquí organisent des ateliers où l’on apprend à protéger les nids de tortues marines avec des filets artisanaux. Les visiteurs plantent des almendros, arbres clés pour les aras rouges, dans des zones reboisées. Ces actions concrètes lient aventure et impact positif.

Surtout, la faible affluence réduit l’usure des sentiers du parc Manuel Antonio, où vivent 109 espèces de mammifères. Les quotas d’entrée, fixés à 800 personnes par jour, préservent la faune sans bousculade. Ce rythme léger célèbre une harmonie entre l’homme et la nature.