Oubliez Saint-Tropez. À quelques kilomètres de la côte varoise se trouve un petit village oublié des circuits touristiques : Collobrières.

Nichée au cœur du Massif des Maures, cette commune de caractère est en train de devenir le secret bien gardé de ceux qui fuient la foule.
Voici 10 raisons de visiter Collobrières avant qu’il ne soit (re)découvert par tout le monde.
1. C’est le “vrai” sud, sans artifices
Pas de palaces ni de yachts ici, juste des volets pastel, des ruelles de pierre et une authenticité que beaucoup de villages ont perdue.
2. On y mange la meilleure crème de marrons de France
Collobrières est la capitale de la châtaigne du Var. Crèmes, glaces, bières, gâteaux… tout y est fait maison, avec un goût qu’on ne trouve nulle part ailleurs.
3. Vous dormirez dans une bastide au calme, pour moins de 80€
Chambres d’hôtes dans d’anciennes maisons vigneronnes, gîtes au bord de la forêt… ici, le charme n’a pas encore été transformé en “luxe marketing”.
4. Il est entouré de sentiers forestiers incroyables (et vides)
Le Massif des Maures offre des balades ombragées, sans affluence, parfaites en plein été.
5. Le village vit encore à l’heure locale
Café ouvert à 6h30. Église qui sonne les heures. On y croise plus d’habitants que de touristes.
6. Les soirs d’été sont magiques
Entre les cigales, la lumière dorée, les concerts de village ou les marchés nocturnes, l’ambiance est simple… et inoubliable.
7. Il y a une rivière secrète où les locaux se baignent
À quelques minutes à pied du centre, la rivière Réal Collobrier forme des vasques naturelles d’eau fraîche. Aucun panneau. Il faut demander à un habitant.
8. La fête de la châtaigne est une expérience en soi
Chaque automne, Collobrières accueille des milliers de visiteurs pour son marché artisanal et gastronomique. Un vrai moment de terroir.
9. C’est le sud… sans les prix du sud
Menus à 17€, apéros à 3€, cafés en terrasse à 1,50 €. Oui, ça existe encore.
10. Personne ne vous a encore parlé de ce village — et c’est une chance
Collobrières, c’est la Provence discrète, celle qu’on découvre, qu’on partage à voix basse, qu’on chérit avant qu’elle ne devienne « à la mode ».